Sous pression, Joe Biden repart en campagne et ne lâche rien
Du côté démocrate, son interview télévisée vendredi n’a pas dissipé les doutes entourant sa candidature.
Deux femmes, un policier et une personne armée proférant des menaces ont été tués.
La Cour a conclu sa session annuelle par une décision controversée sur l’immunité présidentielle, célébrée par Trump.
Le démocrate de 81 ans peine à effacer la désastreuse impression laissée par son débat raté face à Donald Trump.
«Je me suis planté. C’est 90 minutes sur une scène. Regardez ce que j’ai fait durant trois ans et demi», a-t-il déclaré.
Au moins 13 000 personnes ont été forcées d’évacuer leur résidence, mercredi.
La vice-présidente Kamala Harris s’est dite mardi «fière» d’être la «colistière» du président.
Cette nouvelle date tombe environ six semaines avant celle de la présidentielle américaine, le 5 novembre 2024.
Le jugement, rendu à 6 voix contre 3, a divisé les juges selon leurs penchants idéologiques.
La loi a été contestée en justice par des associations représentant l’industrie pornographique.
La ténor démocrate a tenu à saluer la «vision» du président, scruté à la loupe depuis le débat présidentiel.
Les anciens présidents jouissent d’une immunité pour leurs actes officiels, ont déclaré six des neuf juges.
Soixante ans plus tard, des organismes veulent raviver les luttes de l’«été de la liberté».
Historiquement fidèle aux démocrates, le vote ouvrier s’est lentement déplacé vers la droite ces dernières années.
Analyse Plusieurs voix remettent en question l’avenir politique de Joe Biden. Un autre candidat pourrait-il le remplacer?
Le président devrait annoncer qu’il ne se représentera pas «pour servir son pays», estime le comité de rédaction.
Cette décision pourrait affecter la procédure contre Trump pour tentatives d’annuler les résultats électoraux de 2020.
Les deux candidats ont notamment induit le public en erreur en omettant l’impact de la COVID-19 sur l’économie.
Le président s’est efforcé vendredi de faire taire la petite musique sur un possible retrait de sa candidature.
La Maison-Blanche accuse les républicains de bloquer toute réforme migratoire au Congrès, à la demande de Donald Trump.
Cette jurisprudence donnait le dernier mot aux agences gouvernementales dans leur champ de compétence.