La rente viagère de bienfaisance, un don généreux et payant

Contenu commandité

Face aux injustices sociales de plus en plus marquées, ici comme à l’international, nous sommes nombreux à nous sentir impuissants. Pourtant, nous pouvons tous agir, et ce, peu importe notre budget. En effet, pas besoin d’être fortuné pour devenir philanthrope ! Un bel exemple : la rente viagère de Mission inclusion, qui permet aux petits comme aux grands épargnants de se doter d’un revenu stable tout en aidant les personnes en situation de vulnérabilité.

Vous souhaitez soutenir de façon substantielle une cause qui vous tient à coeur et vous avez besoin d’un revenu pour les années à venir ? La rente viagère de bienfaisance est une option à la fois généreuse et avantageuse, qui permet de donner de son vivant tout en s’assurant de rentrées d’argent sa vie durant. « C’est un type de don méconnu, déplore Daphné Mailloux-Rousseau, directrice du développement philanthropique chez Mission inclusion. Pourtant, cela fait plus de 40 ans que l’organisation administre elle-même son fonds de rente viagère ! »

L’organisation laïque, qui poursuit la mission du cardinal Léger et de son frère Jules, est reconnue pour ses actions innovantes et mobilisatrices visant l’inclusion des personnes vulnérables ou marginalisées. Elle soutient des initiatives axées sur la transformation sociale profonde et durable qui ont un réel impact sur la vie des gens, au Québec et ailleurs dans le monde. Depuis 75 ans, Mission inclusion est ainsi venue en aide à plus de 30 millions de personnes.

Un geste qui s’inscrit dans une saine gestion financière

Mission inclusion est l’une des seules fondations qui autogère ses rentes et offre l’accès à une équipe conseil complète en philanthropie ainsi qu’à une conseillère juridique. Étant indépendants des grandes institutions financières, ces experts peuvent proposer les choix les plus avantageux aux futurs donateurs, un peu à l’instar des courtiers d’assurance, et leur permettre de profiter des meilleurs taux du marché. De plus, aucuns frais de gestion ne sont appliqués aux dons reçus. C’est donc 100 % du capital et des intérêts générés qui sont investis dans les projets de bienfaisance.

C’est souvent lors d’un grand changement de vie, comme un héritage, la vente d’une entreprise, ou encore le moment où l’on commence à décaisser ses FERR, que l’on opte pour la rente viagère de bienfaisance. Principalement pour trois raisons : s’assurer un revenu à l’abri des fluctuations des marchés financiers, payer moins d’impôt et appuyer les causes qui nous sont chères, de notre vivant et longtemps après notre décès.

Le revenu obtenu dépend de l’âge et du montant investi. L’année du don, on reçoit un reçu fiscal d’au moins 20 % du capital cédé. Il est possible d’opter pour une rente réversible – au conjoint ou à la conjointe, par exemple — ; le taux sera alors ajusté en fonction de l’âge de cette personne. Au décès, le résiduel de la rente ira directement au champ d’action de Mission inclusion choisi par la personne qui fait le don.

« Imaginez le sentiment de sécurité que donne un revenu garanti à vie. Eh bien, c’est la même chose pour les organismes que vous choisissez de soutenir. En leur permettant de miser sur le long terme, au lieu d’y aller de subvention en subvention, vous les sortez de la précarité ! » souligne Daphné Mailloux-Rousseau.

Des dons adaptés à chaque situation

La rente viagère, très avantageuse pour certains, notamment les personnes de 65 ans et plus, ne convient pas nécessairement à tout le monde. Les plus jeunes, par exemple, peuvent explorer d’autres formes de dons planifiés permettant de soutenir de façon importante les actions de Mission inclusion. Parmi celles-ci, on compte le don d’une police d’assurance vie, le don de valeurs mobilières et le don testamentaire. En fonction du budget, de la situation personnelle et des objectifs philanthropiques de chacun, l’équipe de Mission inclusion offre un accompagnement étape par étape, permettant aux donatrices et donateurs d’évaluer les meilleurs moyens de redonner à la société.

Ce contenu a été produit par l’équipe des publications spéciales du Devoir, relevant du marketing. La rédaction du Devoir n’y a pas pris part.