Quintessence : une grande cuvée, une grande histoire
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Nous avons tous, gravés dans notre mémoire, des moments de pur bonheur gustatif. Qu’il s’agisse de la tarte de notre grand-mère, d’un chocolat d’origine, d’un plat dégusté au restaurant ou d’un grand vin, le souvenir de ces petits moments magiques éveille chez nous un sourire, une excitation, voire une larme à l’oeil. C’est exactement dans cet esprit euphorique que nous vous invitons à découvrir un nouveau spiritueux extraordinaire, à la fois rare et distinctif : le Quintessence, la plus grande cuvée que Grand Marnier ait jamais élaborée à ce jour.
Pour prendre pleinement la mesure de l’expérience de dégustation que nous offre le Quintessence, il faut revenir aux origines de la maison Grand Marnier, qui célébrera bientôt ses 200 ans et dont l’histoire est intrinsèquement liée à celle de l’eau-de-vie de Cognac, bien plus ancienne encore.
Au XVe siècle, les marchands hollandais qui commerçaient avec du vin produit en Charente, en France, ont commencé à le distiller pour en préserver les arômes jusqu’à destination. Puis, selon une des légendes, un de ces brandys aurait été distillé par erreur une deuxième fois, avant d’être entreposé dans un tonneau en bois parce qu’on pensait qu’il était imbuvable. Mais ô surprise ! On s’est aperçu que cet alcool était très fin et que, de surcroît, il se bonifiait avec le temps. Le cognac était né.
Les fondations d’une grande maison de spiritueux
Derrière le Grand Marnier, cette liqueur à l’orange à base de cognac très populaire au Québec — dont nous sommes parmi les plus grands consommateurs au monde ! —, se cache la formidable innovation d’une famille.
En 1827, un certain Jean-Baptiste Lapostolle, issu d’une lignée de distillateurs en région parisienne, a fondé une entreprise d’alcools que son fils Eugène a déménagée en Charente après être tombé sous le charme du cognac, dont il entrevoyait les nombreuses possibilités de développement. Mais c’est finalement son gendre, Louis-Alexandre Marnier Lapostolle, qui a créé, il y a 140 ans, une recette depuis passée à l’histoire. Il a effectivement décidé de marier le meilleur fruit possible avec le cognac, soit l’orange amère, pour élaborer une liqueur unique sur le marché, à l’époque tout comme aujourd’hui.
Mais ce récit ne s’arrête pas là ! Deux autres prestigieuses familles sont à l’origine de caractéristiques propres au Grand Marnier. « C’est un Ritz qui a soufflé le nom de Grand Marnier au distillateur, un homme qui était petit de taille, mais dont la création l’avait bouleversé, raconte le maître assembleur Patrick Léger. Et c’est à la maison Baccarat que l’on doit la forme particulière de la bouteille de Grand Marnier, qui représente l’alambic charentais. » Impressionnant, n’est-ce pas ?
Préserver et réinventer une tradition
On l’ignore souvent, mais le délicieux Grand Marnier Cordon rouge que nous connaissons fait partie d’une plus large gamme de créations. Si la base de leur recette demeure toujours la même — un assemblage de cognac avec de l’écorce zestée, macérée et distillée de bigarade (citrus bigaradia), une orange amère au parfum envoûtant —, l’âge et la concentration des eaux-de-vie peuvent changer du tout au tout le produit final. Or, la maison Grand Marnier dispose d’une cave exceptionnelle recélant de grands cognacs de 5 (VSOP), 10 (XO), 15 ans (XXO)… voire plus de 100 ans !
Patrick Léger veille depuis 2020 sur ces trésors et les utilise avec parcimonie dans des Grand Marnier de dégustation. Un vrai privilège pour cet enfant de Charente, héritier de trois générations de distillateurs de cognac et oenologue. Comme il nous l’explique, « les plus vieux de ces cognacs, hors d’âge, sont entreposés dans un chai spécial, le Paradis. Ce sont des eaux-de-vie incroyables, avec beaucoup de caractère, et divines en assemblage. »
La perfection, signée Grand Marnier
C’est dans ce Paradis que pendant deux ans, Patrick Léger a travaillé à l’élaboration d’une cuvée de Grand Marnier très spéciale en hommage aux origines de la marque. Fruit de la recette originale de Louis-Alexandre Marnier Lapostolle et des plus anciennes réserves de cognac familiales, toutes issues de Grande Champagne, le Quintessence est tout simplement exceptionnel.
Serti tel un joyau dans une carafe en cristal fabriquée à la main par la maison Baccarat, il est de couleur cuivrée foncée et dégage progressivement des arômes d’orange fraîche, de fruits secs délicats, de fleurs, d’amande et de vanille. En fait, il est d’une telle complexité qu’il nous réserve de nouvelles notes toutes les cinq minutes, comme s’il engageait un dialogue avec nous !
Évidemment, une expérience de dégustation aussi unique mérite qu’on la réalise dans des conditions optimales. « Je vous conseille donc de ne pas aérer la bouteille de Quintessence elle-même, mais de tourner ce nectar dans le verre dans lequel vous l’aurez versé. Puis, avant de le boire, préparez votre palais en mangeant un carreau ou deux de chocolat noir à 70 %, ou bien un grain de café. Les arômes de la cuvée en seront amplifiés », recommande Patrick Léger.
Au sortir de cette mémorable exploration gourmande empreinte de bonheur et d’éveil sensoriel, nous ne pouvons que vous souhaiter de la vivre à votre tour. Mais faites vite, avec moins de deux douzaines de bouteilles lancées au Canada, il ne reste que quelques bouteilles de Quintessence disponibles à l’échelle nationale !
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