Fondation Mira: soutenir la mission grâce aux dons planifiés
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Si les dons ponctuels ou mensuels sont plus connus, les dons planifiés présentent plusieurs avantages, autant pour ceux qui donnent que pour ceux qui reçoivent. Alors que de nombreux baby-boomers s’apprêtent à planifier leur succession, ces legs sont une façon d’avoir un impact concret et durable pour la Fondation Mira, dont la mission est d’accroître l’autonomie et l’inclusion sociale des personnes vivant avec un handicap visuel ou moteur ainsi que des jeunes présentant un trouble du spectre de l’autisme, en leur offrant gratuitement des chiens guides et des chiens d’assistance spécialement entraînés pour répondre à leurs besoins.
« Les donateurs typiques des dons planifiés sont des amoureux des chiens, ou des gens qui veulent aider les personnes vivant avec un handicap », explique Michel Aubin, directeur des dons planifiés à la Fondation Mira. Du legs particulier (un montant déterminé à l’avance) au legs universel (qui peut couvrir l’ensemble des biens et actifs de la personne décédée), les déclinaisons d’un don planifié sont nombreuses, et s’adaptent à une variété de situations. « Chez Mira, nous avons eu des dons planifiés allant de 2000 $ à 1,2 million », souligne M. Aubin. Il est important de rappeler qu’il n’y a pas de « petit don » et qu’ils comptent tous pour Mira, qui en dépend directement pour poursuivre son importante mission.
Accompagner les donateurs
Montant fixe, pourcentage de la valeur de la succession, don d’actions, don au moyen d’une assurance-vie ou même d’un bien immobilier : un don planifié peut effectivement prendre plusieurs formes. De quoi en perdre son latin ! Bonne nouvelle : la Fondation Mira offre un service clé en main et accompagne les futurs donateurs pour explorer les voies fiscales optimales. « Je fais la planification avec eux avant qu’ils passent chez leur notaire ou leur planificateur financier », résume M. Aubin.
Celui-ci procède d’abord à un inventaire afin de déterminer les solutions les plus avantageuses pour tout le monde. « Nous suggérons de léguer les biens qui auraient une incidence fiscale autrement », soulève M. Aubin. Entre une maison unifamiliale et un REER, par exemple, M. Aubin conseillerait de laisser le bien immobilier à la famille, et de léguer les REER à la Fondation Mira. « Lorsque Mira encaisse les REER, il n’y a pas d’impôts à payer », fait-il valoir.
L’accompagnement se poursuit au-delà de la planification, puisque la Fondation Mira peut agir à titre de liquidateur testamentaire, s’occupant de faire respecter les dernières volontés. « Certaines personnes sont seules, isolées, et ne savent pas qui nommer comme liquidateur. Pouvoir nous désigner comme tel représente un grand soulagement », explique M. Aubin, qui agit lui-même à titre de liquidateur. « Ça comprend aussi de s’occuper des obsèques de la personne », précise-t-il. En plus d’aider les donateurs, cette façon de faire permet à Mira d’économiser des frais qui peuvent facilement atteindre 10 000 $ à 25 000 $ lorsque le mandat de liquidateur est confié à un professionnel. Résultat ? Plus d’argent revient à Mira, qui peut ainsi changer plus de vies.
Des options multiples
Le don en actions est vraiment gagnant, autant pour le donateur que pour l’organisme. Vendre des actions qui auraient pris beaucoup de valeur avec les années implique de devoir payer de l’impôt sur le gain en capital, potentiellement très important. « Je me souviens d’un donateur qui voulait nous donner des actions d’une banque. Ça faisait tellement longtemps qu’il les avait que son certificat d’action était en papier ! » évoque M. Aubin. En donnant ses actions à Mira, c’est à celle-ci que revient la tâche de les vendre, ce qui représente une économie en impôt sur le gain en capital. Plutôt que de vendre des actions et de faire un don en argent, avec ce procédé, on s’assure que la totalité de la valeur des actions est offerte à l’organisme, qui est exempt d’impôts.
Le don au moyen d’une police d’assurance-vie est une autre façon intéressante de faire un don planifié. En désignant la Fondation Mira comme bénéficiaire et propriétaire de la police, le donateur reçoit un reçu fiscal pour le montant des primes qu’il verse chaque année. La Fondation, elle, reçoit le montant de l’assurance-vie lors du décès. On peut aussi désigner Mira comme bénéficiaire d’une police d’assurance-vie.
L’aide précieuse du public
Ces dons permettent d’assurer la pérennité de la Fondation Mira, premier centre francophone d’entraînement pour les chiens guides au Canada et première école au monde à donner des chiens guides à des enfants de moins de 15 ans. L’organisme fait face à une demande qui ne dérougit pas, et ce, à travers tous ses programmes qui se sont beaucoup élargis et spécialisés au cours des 40 dernières années. Mira souhaite d’ailleurs agrandir ses installations d’ici 2026 pour aider encore plus de bénéficiaires.
À ce jour, plus de 3800 chiens guides et d’assistance ont été remis gratuitement depuis la création de Mira en 1981. L’organisme procure également, depuis 2010, des chiens d’assistance aux jeunes de 21 ans et moins présentant un trouble du spectre de l’autisme. Chaque chien guide et d’assistance représente un investissement moyen de 35 000 $ pour Mira, qui se finance principalement grâce aux dons du grand public, du secteur privé et d’activités de financement. « Tous nos chiens sont remis gratuitement. C’est grâce à la générosité du public que nous continuons à changer des vies, un chien à la fois », rappelle M. Aubin.
Pour plus d’informations sur les dons planifiés, visitez mira.ca ou contactez Michel Aubin (maubin@mira.ca ou 514-994-8395)
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