Que font les immigrants temporaires?
Décryptage des dernières données et rencontres.
Sarah R. Champagne est journaliste généraliste et s’intéresse particulièrement aux migrations, à l’environnement et à tout ce qui touche la chaîne alimentaire. Elle a réalisé des reportages dans 15 pays sur quatre continents, publiant surtout en français, mais aussi en anglais et en espagnol. Elle détient une maîtrise de l’Université de Caroline du Nord, grâce à une Bourse Rotary pour la paix et deux autres diplômes de premier cycle de l’Université de Montréal. Ses projets de longue haleine et d’enquête lui ont valu des bourses et des nominations au Prix Judith-Jasmin, aux Prix canadiens d’excellence en publication numérique et aux Grands prix du journalisme indépendant.
Décryptage des dernières données et rencontres.
Vidéo Pour ceux que «Le Devoir» a rencontrés, le statut temporaire n’est pas un choix.
Ancien demandeur d’asile, il a multiplié ses implications sociales à peine arrivé au Québec.
À l’occasion de la fête nationale, des amoureux de la langue de chez nous parlent de sa richesse.
Le nombre d’immigrants temporaires continue d’augmenter, mais moins vite qu’avant, selon Statistique Canada.
Le succès d’un projet près de Nicolet permet de récolter plusieurs bénéfices environnementaux.
Le premier ministre François Legault a exigé lundi une baisse de 50 % des demandeurs au Québec.
Jusqu’à présent, elles étaient inférieures à celles des autres types de campement.
Analyse avec la professeure Mireille Paquet, qui propose la création d’un mécanisme permanent de financement.
Au Québec, syndicats et patrons n’arrivent pas à s’entendre sur la question des permis fermés.