Manifestations à travers Israël pour réclamer un cessez-le-feu à Gaza
Des citoyens israéliens exigent la fin des combats pour libérer les otages, en plus de la démission de Nétanyahou.
Pour Benjamin Nétanyahou, l’arrêt permanent des combats reste toutefois conditionnel à la «destruction» du Hamas.
En Israël, le parti de centre droit de Benny Gantz a déposé jeudi un projet de loi pour dissoudre le Parlement.
Ils affirment qu’il s’agissait d’une réponse aux frappes israéliennes sur Rafah.
Mercredi, des combats de rue et des bombardements ont secoué Rafah.
La frappe israélienne qui visait «des tentes de personnes déplacées à l’ouest de Rafah» aurait fait 21 morts.
Le camp conservateur se cherche un candidat loyal au guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei.
Une opération israélienne a frappé un camp de déplacés de la ville palestinienne, ce qui a provoqué un incendie.
Deux experts remarquent d’ailleurs un changement de ton en Occident après cette attaque «très difficile à justifier».
Le Conseil de sécurité de l’ONU a convoqué une réunion d’urgence sur la situation dans ce secteur de Gaza.
Des sirènes d’alerte ont retenti dimanche à Tel-Aviv pour la première fois depuis des mois.
Des pourparlers sur une nouvelle tentative de trêve se dérouleront bientôt à Paris.
La plus haute juridiction de l’ONU a aussi demandé la «libération immédiate et inconditionnelle» des otages à Gaza.
Des attaques israéliennes sont rapportées à Rafah, Jabalia et Gaza-Ville. Le Hamas rapporte 26 morts, dont 15 enfants.
La reconnaissance d’un État palestinien est « une récompense pour le terrorisme », a lancé Benjamin Nétanyahou.
Dans la foule rassemblée mercredi à Téhéran pour ses funérailles, plusieurs se demandaient qui pourra lui succéder.
Au moins 85 Palestiniens ont été tués ces dernières 24 heures à travers la bande de Gaza.
L’agence de presse américaine avait déclaré que les autorités avaient saisi sa caméra et son matériel de diffusion.
Une foule a couvert la place principale, brandissant des drapeaux et des portraits du président et des sept victimes.
Elles regrettent qu’Ebrahim Raïssi n’ait jamais rendu de comptes devant la justice pour les crimes qu’il aurait commis.
«La tentative du procureur de la CPI, Karim Khan, de renverser la situation n’aboutira pas», déclare Yoav Gallant.