Manifestations à travers Israël pour réclamer un cessez-le-feu à Gaza
Des citoyens israéliens exigent la fin des combats pour libérer les otages, en plus de la démission de Nétanyahou.
Ils sont accusés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité à Gaza devant la Cour pénale internationale.
Tour d’horizon des réactions dans le monde après le décès du haut responsable de la République islamique.
Le président américain, Joe Biden, a jugé «scandaleux» le mandat d’arrêt réclamé contre Benjamin Nétanyahou.
Le guide suprême iranien, Ali Khamenei, a désigné le vice-président Mohammad Mokhber comme président par intérim.
Le conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche a eu dimanche des entretiens avec les dirigeants d’Israël.
Le ministre de la Défense, Yoav Gallant, s’est opposé à ce que Gaza soit administré par Israël après la guerre.
Treize pays, dont le Canada, demandent à Israël de ne pas lancer d’offensive de grande ampleur sur Rafah.
« Des troupes supplémentaires vont entrer » à Rafah affirme le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant.
L’État sud-africain appelle la Cour internationale de Justice à ordonner un cessez-le-feu immédiat à Gaza.
Ces civils, déplacés plusieurs fois depuis le début de la guerre, reprennent la route à la recherche d’un refuge.
Cette ville du sud de Gaza, où Israël a amené des chars le 7 mai, a subi les assauts d’hélicoptère et de l’artillerie.
Au cimetière national de Jérusalem, des proches ont rendu hommage à ceux morts dans l’offensive de l’armée israélienne.
Défiant les mises en garde internationales, l’armée israélienne mène depuis mardi des incursions dans l’est de la ville.
La guerre aurait déjà coûté la vie à plus de 35 000 Palestiniens, selon le dernier bilan du Hamas, dimanche.
Les pourparlers indirects visant à parvenir à une trêve entre Israël et le Hamas se sont achevés sans accord au Caire.
Une large majorité de l’Assemblée générale des Nations unies est pour leur adhésion pleine à l’organisation.
«S’ils entrent à Rafah, je ne leur livrerai pas les armes», a assuré mercredi le président américain Joe Biden.
Israël a coupé les points de passage névralgiques, ce qui rend les opérations humanitaires pratiquement impossibles.
La fermeture des points de passage et les opérations militaires à Rafah suscitent l’inquiétude à l’international.
Des milliers de Palestiniens fuient l’est de la ville de Rafah, occupée et bombardée par l’armée israélienne.