Un monde hyperdisponible
En détruisant la nature du monde pour accéder à sa disponibilité sans fin, l’être humain s’atrophie.
Pour Condorcet, les hommes qui raisonnent sont les maîtres et ceux qui croient, des esclaves.
Son intérêt pour d’autres cultures ne s’est jamais démenti, et il a traité celles-ci avec bienveillance et respect.
Pour Nietzsche, la connaissance permet à l’individu de favoriser l’intérêt général.
Les vols transcontinentaux ont remplacé les caravelles de Christophe Colomb.
Le philosophe Yvon Gauthier a cherché une voie médiane entre le réalisme et l’idéalisme.
Son caractère hybride se prête à différentes lectures suivant la sensibilité, l’imaginaire et l’idéologie du lecteur.
Pour Bruno Latour, la transition énergétique dépend d’une foule de microdécisions.
Au milieu du XIXe siècle, La Nouvelle-Orléans devient la plus grande ville francophone d’Amérique.
Le populisme abolit la médiation sociale assurée par la sphère publique.
La lire, c’est entrer dans une poésie de l’intériorité, loin de la sensiblerie, capable de distanciation et d’humour.
Non plus simple spectateur, le chasseur devient acteur dans la dynamique zoologique
Le capitalisme fondé sur une croissance illimitée était un socle commun indépassable à l’époque.
Hilary Putnam défendait l’idée d’une objectivité à visage humain basée sur la concertation.
Cette grande passion lui aura permis d’habiter tout le tumulte et tous les paradoxes de l’âme humaine.
L’officier canadien a marqué l’aube d’une nouvelle conquête : celle des lettres québécoises.
Le passage à vide poétique de Crémazie assurera sa réputation posthume.
Pour Diogène, le malheur des humains vient principalement des faux besoins que la société leur impose.
Les médias sociaux exacerbent l’importance de l’image dans la conquête du pouvoir politique.
Verne est probablement le seul auteur majeur français du XIXe siècle qui se soit véritablement intéressé au Canada.
Face aux changements climatiques, Épicure nous inviterait à conquérir cette liberté que seule procure la sobriété...