Un monde hyperdisponible
En détruisant la nature du monde pour accéder à sa disponibilité sans fin, l’être humain s’atrophie.
Les degrés d’horreur atteints en Ukraine auraient sûrement choqué les anciens Grecs.
Sous l’Ancien Régime, nulle propriété n’est parfaite ni entière.
Certaines choses, comme l’amour et la bonté, doivent demeurer cachées pour exister.
La culture était jadis plus grande que l’individu et faisait de lui un être social.
Le Parti patriote a bien retiré le droit de vote aux femmes en 1834.
Pour André Glucksmann, la sécurité des nations se fonde sur une peur qu’elle s’efforce de faire partager.
C’est la situation globale qui conditionne l’état du français.
Cornelius Krieghoff, mort il y a 150 ans, a participé à la connaissance des modes de vie ancestraux des Amérindiens.
C’est un moment propice pour lancer une commission Parent 2.0.
La raison seule ne suffira jamais comme fondement d’une société.
La Nouvelle-France a inspiré plusieurs bâtisseurs du Québec moderne.
Le réseau doit être au service des personnes et non pas des spécialistes.
Il faut ôter de sa vue ce qui empêche le plaisir de vivre.
Pour Hamel, la nationalisation de l’électricité était une mesure conservatrice.
Pour le philosophe Tom Regan, les animaux sont des sujets d’une vie consciente qui ont des droits.
L’héritage de Kepler s’inscrit dans l’évolution chaotique de notre entendement du cosmos.
Nietzsche voulait nous libérer des représentations limitées du langage et de la culture, qu’il jugeait mensongères
L’abandon des oppositions idéologiques a des effets pervers.
Pour Fernand Braudel, les civilisations évoluent grâce aux emprunts, et se définissent par les refus.
L’expression de son moi profond n’a pas à être vécue uniquement en solitaire.