Un monde hyperdisponible
En détruisant la nature du monde pour accéder à sa disponibilité sans fin, l’être humain s’atrophie.
Sa pièce «Une partie de campagne» propose des leçons qui méritent d’être méditées encore aujourd’hui.
Pour Ronald Dworkin, quelqu’un dont la mémoire est dégradée n’est pas étranger à lui-même.
Les dysfonctionnements du fédéralisme canadien sont profondément enracinés dans l’histoire.
Pour Klemperer, le langage dépravé par une idéologie est un poison qu’on ingère inconsciemment, intoxiquant la pensée.
L’angoisse de la mort, la génération lyrique voudra la fuir, comme elle a souvent fui le tragique de la vie.
Pour Boltanski et Thévenot, l’industrie cherchera à développer le mimétisme créatif des IA.
L’instauration d’un tel régime politique permettrait un réel contrôle des institutions par la population.
Pour Cyrulnik, le bonheur, c’est de lutter contre le malheur, d’où cette propension à en créer.
Idées Dans «La nuit», le médecin et écrivain nous plonge dans une époque en continuité avec notre actualité… insulaire
Pour Alexandre Monnin, nous construisons, les biens communs «négatifs» de demain, et ce, sans grande concertation.
Former un groupe rock est une chose, mais en arriver à un son original en est une autre.
Montaigne nous apprend à résister à une stérile polarisation pour mieux débattre.
Pour Norbert Wiener, les machines cybernétiques doivent être régulées, ce que montre ChatGPT.
Il y a 125 ans, Félix-Gabriel Marchand devenait premier ministre du Québec.
Pour Robert Cooper, l’ambiguïté appelle un désir d’ordre qui devient le déclencheur de la coordination et du contrôle.
Idées Inaugurée par «L’influence d’un livre», notre littérature nationale affiche une foi fascinante dans l’impossible.
Idées À lui seul, le mode de pensée woke ne conduit pas à une société plus égalitaire.
L’altérité de l’anglais n’est plus une menace, mais une appropriation souriante chez Germaine Guèvremont.
Pour Arne Naess, notre culture est incapable de reconnaître la primauté du monde naturel
Le gouvernement Lévesque s’est inspiré du livre blanc de Pierre Laporte pour sa politique linguistique.