Un demi-siècle (et plus) de débats sur la place du français du Québec
Survol des lois, des constatations et des réformes qui ont ponctué l’histoire de la langue française dans la province.
Jean-Benoît Nadeau tient une chronique sur le monde francophone au Devoir depuis septembre 2014. Comme auteur, il a signé quatre livres sur les Français, deux sur la langue française et un autre sur la langue espagnole, dont plusieurs sont traduits. Journaliste depuis 1987, il a signé plus de 1500 reportages, chroniques et articles et a remporté une vingtaine de prix de journalisme. Diplômé de l’Université McGill, il est également fellow de l’Institute of Current World Affairs à Washington.
Survol des lois, des constatations et des réformes qui ont ponctué l’histoire de la langue française dans la province.
La situation de la langue en 2024 est radicalement différente de celle qui prévalait en 1974.
Malgré les défis, quelques initiatives veillent à la diffusion, à l’apprentissage et à la protection de ces langues.
« C’était inédit à l’époque », se rappelle Luc-Alain Giraldeau, à propos de la création de l’INRS.
Les Assises 2024 de l’UMQ marquent un changement de ton important dans la relation entre les municipalités et Québec.
Les francophones auraient des « idées » sur la langue qui sont souvent en contradiction avec leurs propres usages.
Guy Rocher affirme c’est au métier de professeur qu’il a attaché le plus d’importance.
Le travail de compilation est constant pour parvenir à déterminer les chiffres réels.
Le mémoire de Propulsion Québec présente ses recommandations au gouvernement provincial.
La Chaire de tourisme Transat a récemment dévoilé les grandes évolutions à prévoir pour l’année 2024.