L’inflation reste largement tirée par les prix de l’essence, du logement et des transports.
L’institution veut voir les récents progrès sur le front de l’inflation se maintenir avant de procéder à une baisse.
Analyse La perception négative des Américains de l’état de leur économie est vue comme un mystère.
Loblaw et Walmart craignent, eux, le contraire et refusent de signer et d’appliquer cette charte.
L’inflation est passée à 2,5% sur un an en février, contre 2,4% en janvier, mais a ralenti à 0,3% sur un mois.
Selon un sondage KPMG, 94% des chefs d’entreprise craignent les coûts élevés du logement et le manque d’offre.
La nécessité d’améliorer la productivité a atteint un niveau urgent, selon une haute responsable de l’institution.
Le prix du cacao va de record en record, et les conséquences se font sentir.
L’ébullition post-pandémie aura été de courte durée pour les arts de la scène, la conjoncture y mettant un frein.
«Nous sommes fermement déterminés à ramener l’inflation à 2 %», martèle le président de la Fed, Jerome Powell.