Les appels à un plan de rattrapage scolaire «récurrent» se multiplient
Le ministre Drainville rejette toutefois cette possibilité, arguant que ce plan se voulait une mesure «exceptionnelle».
Cet outil permettra de valoriser leurs acquis obtenus hors du système scolaire, et tout au long de leur vie.
Le ministre Drainville a fait part de ses préoccupations à cet effet aux directions d’école de la province.
Sans expérience d’enseignement, Simon Bucci-Wheaton s’est retrouvé devant une classe du primaire.
La candidate à la profession d’infirmière Mélanie Courtois entend contribuer au mieux-être des populations autochtones.
Les élèves des écoles publiques francophones de Montréal auront une journée pédagogique.
Des milliers de jeunes ont besoin d’aide pour rattraper le retard occasionné par le débrayage des enseignants.
La plupart des établissements ont choisi de décaler une journée pédagogique.
Daniel Jutras craint le départ de plusieurs chercheurs en raison du sous-financement de la recherche au pays.
La cohorte de l’automne 2024 sera la dernière admise. Ensuite, la formation ne se donnera plus qu’à Victoriaville.
Le gouvernement dit aussi travailler sur «une aide à long terme» pour cette école spécialisée.
L’établissement mise sur l’automatisation de certains systèmes pour réduire ce type d’erreur humaine.
Une unité de recherche à Polytechnique Montréal prépare les ingénieurs pour l’avenir spatial.
De nouvelles initiatives qui visent à faire bouger les choses se multiplient.
Portrait d’Alain Gaudreault, qui a entrepris une réorientation, à un âge où d’autres prennent leur retraite.
L’accompagnement est crucial dans un processus d’orientation qui peut générer beaucoup d’anxiété.
L’association des enseignants a conclu jeudi une entente de principe, évitant au syndicat d’avoir recours à la grève.
Les partis d’opposition pressent Québec de s’occuper du dossier de cette école spécialisée située à Saint-Tite-des-Caps.
Dans un message à ses membres, le syndicat a annoncé quatre jours de débrayage, ce jeudi, vendredi, lundi et mardi.
L’école ultraorthodoxe Belz a bafoué les consignes sanitaires et ne suit pas le régime pédagogique québécois.
Professeurs et chargés de cours ont recours à cette menace dans l’espoir d’améliorer leurs conditions de travail.