Les appels à un plan de rattrapage scolaire «récurrent» se multiplient
Le ministre Drainville rejette toutefois cette possibilité, arguant que ce plan se voulait une mesure «exceptionnelle».
Ils occupent une place démesurée dans la vie des jeunes, selon la centrale syndicale.
Le chercheur, connu pour ses positions à contre-courant sur les vaccins anti-COVID, qualifie son renvoi d’«illégal».
Québec doit faciliter l’accès à ces formations pour améliorer la productivité des travailleurs, plaide leur fédération.
Deux organismes gouvernementaux prônent la prudence au regard des défis éthiques et pédagogiques de l’IA générative.
Le ministre de l’Éducation a répondu aux questions de l’opposition sur l’efficacité du plan de rattrapage scolaire.
Des universitaires contestent les coûts évoqués par l’administration, pour qui d’autres raisons justifient le statu quo.
On observe une baisse des effectifs dans plusieurs programmes universitaires leur étant destinés.
Elle propose des outils pédagogiques pour reconnecter les jeunes à la nature en contexte de changements climatiques.
Une étude commandée par le gouvernement québécois a été publiée cette semaine.
Des critères d’admission désuets dans un contexte de hausse du coût de la vie et des salaires seraient en cause.
La procédure SEXTO, qui a fait ses preuves ailleurs au Québec, mise sur la prévention pour contrer ce phénomène.
Des associations craignent que leurs membres n’aient plus accès à un régime collectif à l’automne.
Des données obtenues par «Le Devoir» soulèvent l’inquiétude d’experts et de représentants syndicaux.
Comme plusieurs, le député fédéral Francis Drouin se désole de leur sous-financement dans plusieurs provinces.
La moitié des centres de services scolaires étaient fermés lundi, pour des raisons de sécurité notamment.
Une école primaire de la Montérégie a décidé de profiter de ce phénomène rare pour en faire une expérience éducative.
Leurs enfants sont contraints de se tourner vers le système catholique, de s’exiler ou d’abandonner le français.
Le ministre Jean-François Roberge rappelle que l’éducation est une compétence qui relève des provinces.
Ils déplorent de n’être pas inclus dans les décisions de l’université comme le prévoit leur convention collective.
Ils craignent que des cours en ligne viennent remplacer des locaux désuets dans des établissements vieillissants.