La Palme d’or décernée au cinéaste américain Sean Baker pour «Anora»
Le film du réalisateur de «The Florida Project» propose le portrait cru d’une travailleuse du sexe à Brooklyn.
Le film du réalisateur de «The Florida Project» propose le portrait cru d’une travailleuse du sexe à Brooklyn.
Le cinéaste dissident iranien Mohammad Rasoulof a électrisé Cannes avec «Les graines du figuier sauvage».
Hors des salles de cinéma, les sujets de conversation n’ont pas manqué à Cannes.
Critique David Lambert offre une comédie romantique touchante, mais convenue, sur un couple d’homosexuels vieillissant.
Critique George Miller raconte la genèse de Furiosa dans un «prequel» qui n’a rien à envier à sa suite.
Critique Glen Powell est irrésistible en faux tueur à gages empêtré dans ses mensonges dans la comédie de Richard Linklater.
Ce prix alternatif récompense chaque année à Cannes un long-métrage abordant les questions LGBTQ+.
Dans le conte «La plus précieuse des marchandises», une femme sauve un bébé jeté d’un train à destination d’Auschwitz.
Le jury d’Un Certain regard était présidé par Xavier Dolan.
Le cinéaste iranien a fui le régime islamique au péril de sa vie pour venir présenter son film en personne.
Critique Trevor Anderson renouvelle le récit initiatique sur fond de quête identitaire queer avec son premier long métrage.
Critique Quentin Dupieux manipule les codes du biopic pour rendre hommage au plus grand chef-d’oeuvre de Salvador Dalí: lui-même.
Critique Troisième tentative d’adapter au cinéma le personnage créé par Jim Davis. Et c’est encore raté.
Critique Cette comédie sur les hauts et les bas de la maternité s’inscrit dans l’héritage du célèbre «Bridesmaids».
Gilles Lellouche adapte avec Audrey Diwan «L’amour ouf», un drame amoureux plein de musique, de fureur et de style.
Une vingtaine de cinéastes gazaouis ont documenté la guerre par de courts films, montrés en marge du festival.
Miguel Gomes envoûte avec « Grand Tour », entre réflexion postcoloniale et rêverie cinématographique.
Christophe Honoré, Sean Baker et Paolo Sorrentino ont déçu en compétition avec des films inaboutis, voire abscons.
Dans la métropole québécoise, il a imposé sa manière de voir dans des salles comme le Verdi.
Dévoilé à Cannes, «The Apprentice» revisite les débuts et l’ascension du milliardaire, de la naïveté à la monstruosité.