Bloc-notes gourmand
Collaboration spéciale
Ce texte fait partie du cahier spécial Plaisirs
Les activités et les nouveautés à ne pas manquer.
Apéro du mercredi
Tous les mercredis soir jusqu’au 10 avril, c’est l’heure de l’aperitivo dans la Petite Italie, qui fait vivre cette tradition italienne dans des restaurants du quartier. Dès 17 h, l’un des établissements participants propose une formule gourmande après le travail. Pour 25 $, on a droit à une assiette de spécialités et à un cocktail, avec ou sans alcool. Qu’on opte pour une bière de microbrasserie au Saint-Houblon ou au Birra, ou pour un plat italien au Corneli, au Bocadillo, au San Gennaro, au Café Conca d’Oro ou au Panino Pazzo, c’est l’occasion de se retrouver entre collègues ou amis pour faire plaisir à ses papilles.
Réconfort à la truffe noire au Central
Les amateurs de truffes pourront se régaler lors de Montréal en lumière avec la venue du chef italien et chasseur de truffes Giacomo Boccaccini. Pour trois soirs seulement, il se joint au restaurant Kaviar et propose un menu de cinq services où la truffe noire d’hiver est à l’honneur. L’événement promet une expérience ancrée dans la tradition toscane, qui trouve déjà de nombreux adeptes puisque les deux premiers soirs affichent complet. Il reste cependant des places pour le 1er mars. D’ordinaire ouvert seulement le soir, le Kaviar proposera jusqu’au 8 mars également un Kaviar Bump, avec un menu du midi accompagné d’une vodka glacée pour 20 $ par personne. L’établissement tiendra aussi un 5 à 7 pour clore le festival, où Oyster and Caviar et son fondateur, François-Xavier Dehedain, feront déguster au public différentes gammes de caviar de la maison Antonius de Pologne.
Un premier « bar à pâtes » dans la métropole
À l’instar de New York, Montréal compte maintenant son premier « bar à pâtes » depuis quelques semaines. Lulu’s Bar à pâtes a pignon sur rue au coeur de Griffintown et propose une vaste sélection de pâtes fraîches à emporter ou à déguster sur place dans un décor qui rappelle celui des casse-croûte des années 1980. Les pâtes fraîches sont fabriquées à partir de farine de semoule et sont déclinées en 11 généreux plats sur le menu. Les indécis peuvent également imaginer leur propre assiette en optant pour l’une des trois sortes de pâtes parmi les rigati, les campanelles et les casarecce. On sélectionne ensuite sa sauce entre les huit qui figurent sur la carte, dont trois véganes. Et finalement, on choisit quels seront les légumes et les protéines qui termineront notre création. Le restaurant propose aussi trois salades gourmandes et autant de desserts. Pour un temps limité, les étudiants ont droit à un rabais de 10 % sur présentation de leur carte d’étudiant.
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