Le transfuge de classe littéraire, le triomphe de la méritocratie?
Présent dans le discours médiatique français, le transfuge de classe revendique sa place dans la littérature québécoise.
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec est détentrice d’un baccalauréat en études cinématographiques et littérature comparée de l’Université de Montréal. Elle s’intéresse particulièrement à la politique internationale, à l’environnement, aux arts et spectacles et à l’anthropologie. Journaliste et rédactrice indépendante, elle collabore à plusieurs publications, notamment aux magazines Sélection du Reader’s Digest et Planète F. En 2014, elle a reçu une mention d’honneur du prix Lizette-Gervais pour la relève en journalisme.
Présent dans le discours médiatique français, le transfuge de classe revendique sa place dans la littérature québécoise.
Critique Jeanine Cummins offre un roman oscillant entre saga historique et drame familial moderne originellement paru en 2013.
Critique Un couple de quinquagénaires doit affronter le vide qui se creuse en son sein dans cette comédie inspirée du vaudeville.
Critique Avec son premier film, Victoria Musiedlak offre un récit d’émancipation inachevé sur fond de suspense judiciaire.
Critique Gary Victor met en scène un écrivain rongé par le syndrome de la page blanche à Port-au-Prince.
Critique Simon Lavoie ne s’embarrasse pas de subtilité pour dénoncer l’effacement progressif de la spécificité québécoise.
Critique Jean-Pierre Améris offre coeur et âme à une formule mille fois revisitée sur le choc des générations.
La primo-romancière raconte la lente destruction de Griffintown à travers le destin de deux femmes et de deux immeubles.