La police brésilienne inculpe l’ex-président Jair Bolsonaro pour blanchiment d’argent
M. Bolsonaro et ses avocats ont nié tout acte répréhensible lié à cette affaire, ainsi qu’à de nombreuses autres.
Les deux prétendantes sont d’accord sur la nécessité de renforcer les polices et les institutions judiciaires.
Les sept membres et deux observateurs du Conseil présidentiel de transition sont nommés dans un arrêté officiel.
Washington a salué un «pas positif vers le rétablissement de la sécurité» et une «voie à des élections libres».
Balles perdues dans les hôpitaux, kidnappings, peur des gangs, risque de famine, pénuries… Le portrait est consternant.
Les autorités de transition se font attendre et la population paie la longue crise politique sécuritaire au prix fort.
Le conseil de neuf membres doit remplacer le premier ministre contesté Ariel Henry, qui a annoncé sa démission en mars.
Un juge de la Cour suprême du Brésil a ordonné l’ouverture d’une enquête sur une «instrumentalisation criminelle de X».
L’intrusion de policiers équatoriens dans l’ambassade mexicaine à Quito a suscité une pluie de critiques.
La ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly, a invoqué «un afflux de demandes à la dernière minute».
Mélanie Joly a affirmé que le gouvernement fédéral avait aidé plus de 250 Canadiens.
La situation humanitaire et sécuritaire est catastrophique, dit l’Organisation internationale pour les migrations.
Après quelques jours de calme relatif, ils ont repris lundi leurs assauts dans plusieurs quartiers de Port-au-Prince.
L’État-major central mène sur les réseaux sociaux une intense campagne de séduction à l’attention des jeunes.
Parmi elles, 80% sont parties à cause des violences des gangs qui ravagent la capitale haïtienne.
La présidente Dina Boluarte fait quant à elle l’objet d’une troisième demande de destitution par l’opposition.
Dina Boluarte fait l’objet d’une enquête préliminaire pour possession d’une collection non divulguée, depuis 2021.
L’organisation de la présidentielle du 28 juillet au Venezuela est critiquée par l’opposition et les États-Unis.
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme réclame une mise en oeuvre plus efficace de l’embargo sur les armes.
Edmundo Gonzalez Urrutia représentera l’opposition au scrutin du 28 juillet, mais il n’était pas le premier choix.
En attendant, la population continue de payer l’instabilité au prix fort.